INTERNATIONALE KURZFILMTAGE WINTERTHUR x GIFF

Pour la première fois cette année, l’édition 2018 du Geneva International Film Festival (GIFF) accueillera une sélection sur-mesure de courts métrages (hors compétiton) des Internationale Kurzfilmtage Winterthur tandis qu’un programme d’œuvres en réalité virtuelle concocté par la manifestation genevoise sera proposé au public de Winterthur.

En 21 ans d’existence, les Internationale Kurzfilmtage Winterthur sont devenus sans conteste le festival de courts métrages le plus important de Suisse. De son côté, arrivé à sa 24e édition, le GIFF s’est imposé comme la manifestation audiovisuelle la plus innovante du pays. Chaque année, les deux événements se tiennent au début du mois de novembre.

En ouvrant la curation de son programme aux IKW, le GIFF entend donner à ses festivaliers la possibilité de bénéficier de l’expertise des meilleurs programmateurs de formats courts de Suisse. Il sera ainsi possible de découvrir une sélection sur-mesure de courts métrages issue de la programmation des Kurzfilmtage, au GIFF, entre le 2 et le 10 novembre prochain.

En parallèle, les Kurzfilmtage font à nouveau appel aux programmateurs numériques du GIFF pour concocter une sélection d’œuvres en réalité virtuelle à découvrir au Virtual Reality Cinema de Winterthour, du 6 au 11 novembre.

« Nous nous réjouissons de ce partenariat à l’échelle nationale, déclarent conjointement John Canciani, directeur artistique des IKW et Emmanuel Cuénod, directeur général et artistique du GIFF.  Cette collaboration de deux festivals suisses qui parviennent à s’entendre pour mutualiser des programmes et travailler étroitement ensemble nous réjouit d’autant plus qu’elle permet non seulement d’améliorer leurs visibilités respectives, mais également d’offrir la possibilité, au public de part et d’autre de la Sarine, de découvrir une sélection d’un festival qui suscite sa curiosité et auquel il n’a pas toujours l’occasion d’assister. Ce rapprochement de deux manifestations mettant toutes deux en avant l’innovation et la singularité des regards nous semble un signal positif pour les auteurs en Suisse comme à l’international. »